France, 1907 : Faire du chantage dans les affaires de mœurs.
Les hommes qui se livrent au genre d’escroquerie dit chantage, et qui, dans leur argot, prétendent s’occuper de politique, spéculent sur les habitudes vicieuses de certains individus, pour les attirer, par l’appât de leurs passions secrètes, dans des pièges où ils rançonnent sans peine leur honteuse faiblesse.
(Ambroise Tardieu, Étude médico-légale)